mercredi, mars 05, 2014

La maladie nous demande un effort amoureux


Je ne pouvais pas laisser passer ce très bel article dans l'INREES de Guy Corneau.
En tant que sophrologue, et future sophro analyste, qui accompagne depuis 4 ans des malades du cancer, je partage totalement les réflexions de Guy Corneau. Je partage sa vision et le sens de mon travail est de rechercher du sens à ce qui arrive et d’œuvrer pour la santé, en laissant la maladie aux experts, les médecins.
Car justement, ce qu'explique Guy Corneau, les accompagnants des malades du cancer (psychothérapeutes, sophrologues, magnétiseurs...) doivent encourager la personne a trouvé le(s) sens de sa maladie, à rentrer en contact avec cette partie de son corps (de son âme) en souffrance. 
C'est un travail d'immersion et de recherche qui va lui permettre de comprendre, non pas le "pourquoi du comment" mais le sens qu'elle peut y mettre, et ainsi redonner de l'élan vital à cette partie. Puis cet élan, ce mouvement, vont permettre à la personne de libérer ses cuirasses, ses croyances, ses peurs... et libérer l'être vivant, libre et joyeux, qui est en lui.
Et pour cela, il faut du temps, il faut pouvoir s'installer dans les pratiques, aller activer la santé afin que la maladie ne prenne pas toute la place.
Reprenons la phrase de Guy Corneau "pratiquer un amour sans condition et sans attente, de pratiquer une joie sans raison, comme une offrande à l'univers"
je profite de ce post, pour envoyer beaucoup de lumière et d'amour à mon amie Marie Hélène qui me manque déjà tant.

Voici l'article




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