jeudi, mars 29, 2012

Pour nos enfants



Voici un article de "la parisienne" évoquant les différentes manières d'accompagner un enfant à se relaxer, se connecter à leurs sens, écouter le corps, les pensées, la respiration.....


Aux Pays-Bas, Eline Snel est une star. Une jolie grand-mère de 58 ans, aussi souple que douce, capable de plonger dans un silence bienfaisant une trentaine de gamins surexcités en quelques minutes. Sa botte secrète? Avoir transposé à destination des 4-12 ans une méthode de méditation, la pleine conscience, prévue à l’origine pour les adultes.

samedi, mars 24, 2012

Pour méditer comme une grenouille...

Pour valérian, alister et tous les enfants mais pour les grands aussi.
Méditons comme une grenouille ....

jeudi, mars 22, 2012

Cadeau

Je vous offre aujourd'hui ce merveilleux texte de Charlie Chaplin
et j'espère qu'il vous fera autant de bien qu'à moi 
je vous souhaite une belle journée



Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi. 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité. 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité. 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Respect. 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre. 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité. 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. 
Aujourd’hui, j’ai découvert l' Humilité. 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. 
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude. 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir ,mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux. 
Tout ceci est Savoir vivre ! 
Charles Chaplin

mercredi, mars 21, 2012

Le top 5 des regrets des personnes mourantes

Voici un article, évidemment pas très joyeux, mais en même temps, maintenant que nous connaissons le top 5 des regrets, nous pouvons tout de suite y remédier, non ?

c'est un article d'un blog "pépites" et une analyse de The Gardian


FÉV
Une infirmière australienne en soins palliatifs a consigné dans un livre les 5 regrets les plus récurrents formulés par ses patients en fin de vie.
Bronnie Ware accompagne depuis de nombreuses années les malades en fin de vie. En travaillant, elle s’est rendue compte que les patients exprimaient souvent les mêmes regrets alors qu’ils approchaient de la fin. Elle en a tiré de sages enseignements qu’elle a consigné dans un livre intitulé « Le top 5 des regrets des personnes mourantes ». The Guardian rapporte son analyse.
 N°1 : J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je l’entendais, et non la vie que les autres voulaient pour moi
C’était le regret le plus courant. Quand les gens réalisent que leur vie est presque finie, ils portent un regard clairvoyant sur leur passé, et ils voient alors combien de rêves ils n’ont finalement pas réalisé. La plupart des gens n’ont pas accompli la moitié de leurs rêves, et sont morts en sachant que cela était dû aux choix qu’ils avaient fait ou non. La santé est une liberté dont bien peu de gens ont conscience jusqu’à ce qu’ils n’en disposent plus ».
 N°2 : J’aurais aimé ne pas m’acharner autant dans le travail
Ce souhait a émané de tous les patients masculins que j’ai soignés. Ils regrettent de ne pas avoir étés plus là durant la jeunesse de leurs enfants ou auprès de leur conjoint. Les femmes évoquent aussi ce regret, mais pour une bonne partie de la vieille génération, beaucoup de mes patientes étaient encore à la maison ».
 N°3 : J’aurais aimé avoir le courage de dire mes sentiments
Beaucoup de gens taisent leurs sentiments afin d’éviter le conflit avec les autres. En résulte qu’ils s’installent dans une existence médiocre et ne deviennent jamais ce qu’ils auraient pu être. A cause de cela, beaucoup d’entre eux développent des maladies liées à leur amertume et leurs ressentiments. »
 N°4 : J’aurais aimé rester en contact avec mes amis
 Souvent, les patients ne réalisent pas tout ce que peuvent leur apporter leurs vieux amis jusqu’aux dernières semaines de leur existence. Quand ils s’en rendent compte, il est souvent trop tard pour retrouver leur trace. Souvent, certains sont tellement pris par leur propre existence qu’ils ont laissé filer de précieux amis au fil des années. Beaucoup regrettent de ne pas avoir donné à leurs amis le temps qu’ils méritaient ».
 N°5 : J’aurais aimé m’autoriser à être plus heureux
C’est un regret étrangement récurrent. Beaucoup ne se sont pas rendus compte durant leur vie que la joie est un choix. Ils sont restés rivés à leur comportement habituel et leurs habitudes. Ce que l’on appelle « le confort » de la familiarité a éteint leurs émotions et leur vie physique. La peur du changement leur a fait prétendre qu’ils étaient heureux ainsi, alors qu’au fond, ils rêveraient de pouvoir encore rire ou faire des bêtises dans leurs vies».

samedi, mars 17, 2012

A méditer

c'est le week-end, nous avons le temps de réfléchir un peu. Alors encore un petit (grand) texte de Denis Marquet "ma souffrance, ma guérison", à méditer
Denis Marquet est écrivain, thérapeute et philosophe





L'âme n'est jamais malade que de ses efforts pour ne pas rencontrer la souffrance.

vendredi, mars 16, 2012

Un souffle

Photo Frederique Achard

Là, maintenant, arrêtez vous !
Ecoutez votre respiration,
à chaque expire, sentez la dureté sortir
à chaque inspire, sentez la douceur entrer
bonne journée

mardi, mars 13, 2012

Refuser la tiédeur et dire oui à l'intensité de l'expérience


Denis Marquet, philosophe, thérapeute et écrivain nous propose un article dans CLES, passionnant et tellement vrai.

Des sens saturés de non-sens !

Il n’est aucune expérience qui s’oppose au cheminement spirituel. La joie est un merveilleux sentier vers le divin, mais la souffrance aussi. Découvrir sa vérité intérieure est une réalisation, se perdre est parfois un raccourci vers soi-même. Si la rigueur d’une morale ou d’une discipline a son utilité, se découvrir incapable de vivre selon ce que l’on sait juste est aussi une opportunité. Réussir brillamment est une voie, échouer lamentablement en est une autre. La sainteté est admirable, mais le crime, à la faveur du repentir, est parfois le chemin qui y mène.

Pour un être en chemin, toute expérience est matière. À une condition, toutefois : que l’on vive avec intensité. Car le seul véritable obstacle à l’accomplissement humain, c’est précisément le refus de vivre des expériences. Celui-ci a pour nom tiédeur.

Qu’est-ce qu’une expérience ? L’irruption du nouveau dans ma vie. Chaque rencontre, chaque événement, chaque instant m’offrent une nouveauté radicale qui m’invite à mourir à tout ce que je fus pour naître à ce que je ne sais pas. Vivre vraiment, c’est mourir et renaître sans cesse, avec l’intensité de souffrance et d’émerveillement qui accompagne nécessairement cet incessant renouvellement de soi-même et du monde. Accepter celui-ci sans chercher à figer, à posséder, à contrôler, telle est la condition pour aimer et pour créer. Car celui qui aime n’aime rien tant qu’être surpris par l’aimé ; celui qui crée, être surpris par ce qu’il crée.

jeudi, mars 08, 2012

L'imaginaire, nouvelle réalité scientifique ?


Bonjour, 
Selon des récentes études scientifiques, l'imagination a les mêmes effets sur le cerveau que la vision, se fredonner une chanson a également le même impact sur les neurones qu'entendre réellement une chanson.
L'imagination en tant que ressource de l'esprit, une réalité pour un sophrologue.
Bonne lecture

jeudi, mars 01, 2012

Stimuler sa libido avec la sophrologie

Musée Rodin


Grâce à Catherine Aliotta, psychologies.com parle (enfin) de la sophrologie !
Et on parle de sophrologie pour réveiller la libido.
Vous pouvez suivre les exercices proposés et surtout continuer (ou recommencer) à faire l'amour, dixit Catherine Aliotta, "moins nous faisons l'amour, moins nous en éprouvons l'envie"

Stress or no stress ?

Quelles sont les réponses de l'organisme au stress et à la relaxation?


Le mot stress a été introduit en français vers 1936 par le physiologiste canadien Hans Selye pour désigner la réponse de l'organisme (aussi appelée "syndrome général d'adaptation") à des stresseurs, c'est-à-dire à des situations ou des événements qui sont perçus comme exerçant une demande ou étant agressants. La signification du terme a ensuite été élargie pour englober la cause de cette réaction. 
Le stress ou syndrome d'adaptation se développe en trois phases: